En 1927, George Valentin, vedette du cinéma muet, ne compte plus ses admiratrices. Parmi elles, Peppy Miller, une jeune femme qui rêve de devenir actrice. Ils se rencontrent une première fois lors de la présentation du dernier film de George, puis, à nouveau lors d’un tournage alors que Peppy est figurante.
Peppy se fait petit à petit un nom. Mais, l’arrivée du cinéma parlant va marquer un tournant dans leur carrière à tous les deux... Alors que Peppy devient le nouveau visage star de la Kinograph, George va peu à peu tomber dans l’oubli.
The Artist, c’est l’histoire de deux destins qui se croisent et s’éloignent pour mieux se retrouver. The Artist, c’est aussi l’histoire d’un pari risqué… à l’heure de la 3D et des effets spéciaux, qui parierait sur un film muet en noir et blanc ? Et pourtant, The Artist reçoit des éloges de toute part et pour cause, c’est un véritable bijou du septième art. Primé à Cannes, Jean Dujardin a déclaré en recevant son prix d’interprétation : “Maintenant je vais me taire parce qu’apparemment, ça me réussit plutôt pas mal !” Et en effet, on ne pâtit pas de l’absence de paroles. Au contraire, cela permet de se concentrer d’avantage sur le jeu des acteurs et ces derniers sont d’une justesse parfaite.
Si le début du film les montre exagérer les mimiques à la façon des vieux films muets, un changement subtil s’opère quand le film adopte un ton plus grave. Adouci, leur jeu transmet toute l’émotion de l’histoire qu’ils racontent…
La bande annonce promettait beaucoup et le film tient ces promesses… N’attendez pas, ne vous posez même pas la question et tentez l’expérience du silence… le silence d’une salle captivée par un chef d’œuvre… Mais n’oubliez pas… Chut !
Silence… moteur… et action !
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